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Besoin d'aide [PV- Zadig]
ϟ celui qui lit ce titre est un elfe de maison. Ceci était la touche d'humour de Thor.
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Message Posté Dim 5 Déc - 12:41.
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    La Soirée était déjà bien avancée, la lune reflétait déjà le parc de Poudlard d’une lueur argentée. Lila était une fois de plus émerveillée. De tout ce que lui avait raconté, elle n’osait s’imaginer un endroit autant accueillant. La belle s’était donc encore émerveillée de la voute de la grande salle. C’était une idée merveilleuse de pouvoir contempler le ciel, Lila avait toujours adoré la divination, ainsi que l’astronomie, c’est pourquoi elle restait longtemps dans la salle pour admirer les étoiles scintillaient tel des millions de diamant.

    Pour ne pas déroger à la règle, Lila était restée un long moment en ce lieu, pour discuter avec ses nouvelles connaissances à la table des Serdaigle ou pour encore gouter les nombreux mets Anglais. Durant le repas, son regard avait une fois de plus croisé celui bleu électrique de Zadig, cela l'avait complètement pétrifié. Il avait une manière d'être très instable, quelque chose était brisée au fond de lui, Zeus en étant sûre mais pour le moment elle n'aurait pue mettre de mot sur ce mal être. Lila voulait juste l'aider, apprendre à le connaitre comme les rares fois où il s'ouvrait à elle.

    La salle de banquet s'était peu à peu vidée, les élèves commençaient à somnoler et n'attendait qu'une chose le confort des lits moelleux du château. A son tour Buckley se leva, souhaita une bonne soirée à son groupe d'amis et se faufila entre les tables pour sortir.

    Un sourire se dessinait sur le visage de Lila, elle allait explorer les environs du château. Pour le moment, elle n’avait pas eu vraiment le temps de se trouver un lieu paisible, un lieu pour elle.
    Lila marcha lentement, saluant chaleureusement les êtres contenus dans les peintures. Les anglais étaient plutôt accueillants.

    Lila avança de sa démarche dansante, ses pensées vagabondaient à l’instar d’une plume. Elle gravit lentement les marches, souhaitant se rendre à la tour d’Astronomie. D’un coup sa jambe s’enfonça dans une marche branlante, coinçant un de ses membres. La blonde sur le coup tomba, un rire cristallin s’échappa de sa gorge quand elle se rendit compte qu’elle était loin de connaitre le château comme sa poche. Lila se releva avec tant bien que de mal, et tira sur sa jambe immobile. Lila étouffa un cri, un morceau du parquet s’était enfonçait dans son membre quand elle avait essayé de l’enlever. Lila n’avait plus du tout envie de rire, sa jambe était toujours bloquée. Un liquide chaud coula le long de sa jambe, la blessure lui faisait un mal de chien. Quelques instants plus tôt, Buckley aurait eu envie de rire de cette situation mais à présent elle ne trouvait rien de comique.

    Lila ne put bouger, et se trouva coincer dans une marche, en fin de soirée alors que tout le monde était déjà monté dans les dortoirs. Sa jambe continuait à saigner, malheureusement elle n'avait pas sa trousse de secours à côté d'elle, et quand bien même elle l'aurait elle ne pourrait déverser le produit magique, ne voyant rien. Lila prit son courage à deux mains, mordit ses lèvres et enfonça un peu plus le morceau de bois dans sa chair. Au moins ca stopperait l'hémorragie un petit moment.

    La belle passa un bon moment seule, la nuit habitée déjà les lieux, les chandelles s'étaient éteintes. En ce moment précis, Zeus violait le règlement, elle devait déjà être couchée depuis des heures... Elle ne voulait pas s'attirer d'ennui alors qu'elle n'était à Poudlard depuis une semaine.

    L'attente se faisait de plus en plus longue, Lila perdit peu à peu l'espoir que quelqu'un la retrouve. Elle aurait tant aimé qu'Adrien la trouve, l'aide, elle serait réconfortait, car en sa présence tous ses soucis s'envolaient... malheureusement il n'était pas là...

    Sa tête commença à être lourde, à bout de force, Lila essaya de s'asseoir sur une marche, posant sa tête contre la rambarde. Peut être que les bras de Morphée l'envelopperaient d'ici peu...
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Message Posté Dim 5 Déc - 15:56.


    La musique. Aussi étrange que cela soit, j’appréciais particulièrement la musique de Noël. Lorsqu’elle parvenait à mes oreilles, j’avais l’envie de me plonger dans une couverture douillette, au coin du feu, avec un livre. Je frissonnais de plaisir face à cette pensée. C’était, hélas, impossible d’effectuer cela, en ces circonstances. Effectivement, je me trouvais dans la Grande Salle et donc, il était fort peu probable, que je puisse assouvir mes désirs. Il y avait trop de monde, et le cadre ne correspondait pas à mes attentes. J’ai oublié de préciser, que pour moi, le cadre idéal excluait toute personne aux alentours. J’étais trop solitaire et sans doute trop égoïste, pour apprécier la présence de quelqu’un près de moi. Alors que je m’évadais vers des pensées joyeuses et plus légères que ces derniers temps, je sentis sur moi, un regard se posait. Je me tournai vers l’objet de mes interrogations et me sentit submergé par un sentiment étrange. Cette fille…Cette fille pouvait-elle savoir ? Non, impossible. Mes sentiments étaient bien enfouis. J’étais dévasté, mais je faisais des efforts. Je me faisais exister ! Je me faisais violence ! Je cachais toutes expressions qui auraient pu révéler mon état. J’étais devenu un maître dans l’art de la dissimulation. J’étais paranoïaque. Elle devait…simplement m’observer. Du moins, je l’espérais de tout mon cœur. Qu’elle m’observe ou non, cela m’importait peu. En revanche, si elle ressentait mon désarroi, cela changeait la mise. Lila. C’était son prénom. Je l’avais remarquée, dès son arrivée au château. Son statut de française et ses airs enchanteurs m’avait interpellé. Après tout, j’étais un homme. Certes, je n’étais pas ce genre de garçons qui cherchait l’amour que cela en devenait ridicule et me rendait moqueur, à en devenir cynique, mais je savais reconnaitre la beauté. Pis, je savais y goûter. C’était un défaut, d’ailleurs. Je jouais trop. J’étais, en prime, terriblement hypocrite. Dès que nos ébats avaient des allures d’engagements, je m’éloignai, très vite. Et comme la jeune donzelle, n’osait pas me contredire ou encore révéler au monde entier, mon caractère de parfait Dom Juan ou manipulateur, au choix, elle se contentait de réfracter ses désirs et se taisait sur ma personne. Je restais ainsi un parfait gentleman auprès d’un grand nombre de gens, même si parfois, cette belle image était entachée par des rumeurs ou des vérités. Heureusement, je savais sélectionner les femmes. Ne jamais s’approcher de celles qui ont trop de caractères. Elles ont trop de fierté. En revanche, les fleurs fraichement cueillies me convenaient. Elles étaient muettes. Mes pensées me semblèrent terribles. Mais qui étais-je devenu ? Je sentis mes entrailles s’ouvrir en un trou béant. J’étais un monstre. Ma respiration s’accéléra. Personne ne remarqua. Pendant quelques secondes, mon regard s’était perdu dans les méandres de ma douleur psychologique. Mais j’avais rattrapé le tir. Je m’étais crée une façade de glace. Cela ne changeait pas tellement d’avant. J’étais froid. Distant, mystérieux. Tordu. Oui, j’étais tordu. Surtout depuis quelques temps. L’indifférence que j’avais subi, avait brisé les quelques restes d’humanité qui peuplaient mon cœur. Maintenant, j’étais un pantin. Incapable de contredire. Juste bon à opiner. Seulement voilà, il y avait aussi mon caractère sombre qui s’était révélé. Je ne considérai plus le monde de la même manière. C’était terrible à dire…mais les gens ne m’importaient plus beaucoup. J’étais solitaire. Pourtant, aussi étrange que cela soit, j’attirais encore et toujours les autres. Je connaissais mon charisme. Je le savais existant. Mais je ne savais pas, que même dans les pires moments de ma vie, il continuait de fonctionner. Qui aurait pu apprécier un garçon, qui se contentait d’écouter, de donner quelques conseils, mais qui se taisait, toujours et toujours, sur sa personne ? Qui ne s’ouvrait jamais aux autres ? Qui aimait faire souffrir et se faire souffrir ? Les gens étaient des masochistes. Je faisais parti d’eux.

    La grande salle commença à se vider. Je posai mon regard sur Lila, un court instant. Elle était belle. Oui, elle était belle. Et pourtant, je voulais la briser. La tordre. Lui faire subir mille souffrances. Juste pour lui montrer, qu’elle avait vu juste. Lui montrer que j’étais dévasté. Je continuai avec cette idée, qu’elle savait. Je savais qu’elle devait simplement s’être contentée de me regarder, mais j’avais un sentiment étrange. Elle savait. Comment ? Je n’avais pas la réponse à la question. Soudain, je dus détacher mon regard de Lila. Elle partait. Il est vrai qu’il était tard ! Je n’avais pourtant aucune envie de bouger. Mon corps s’était gelé. Hélas, rester seul ici, aurait éveillé des soupçons sur mon état. Les gens voyaient déjà quelques changements, il était inutile d’alimenter leurs paroles.

    « Zadig, tu viens ? On va se faire un jeu dans la salle commune !
    -J’arrive ! » Je souriais à mon interlocutrice. Un sourire magnifique. Pas celui que j’aurais réservé à Seddy – ces sourires là n’étaient arrivés que les fois où je la voyais-, mais un sourire chaleureux et joyeux. Je vus la demoiselle me fixait pendant quelques minutes avec surprise, puis me rendre mon sourire. J’avais envie de jouer. Là, maintenant, tout de suite. Je me levai doucement. Elle m’attendait, cette jolie Serdaigle. Je ne connaissais pas son nom. Pourtant, elle restait toujours avec nous. Mais je ne devais pas l’avoir remarquée. J’étais un mauvais garçon. Je me plaçai à côté d’elle et nous partîmes vers le chemin du dortoir. Sa discussion était amusante. Elle racontait toutes sortes d’aventures qu’elle avait eues à cause de la neige et du verglas. Je l’écoutais d’une oreille distraite, répondant par-ci par-là, à quelques questions. Je n’étais pas très intéressé, mais j’étais un diplomate et je trouvais cela fort désagréable de ne pas porter un minimum d’intérêt aux gens. Ils étaient ainsi flattés dans leur égo, et nous apparaissions comme délicieux et sympathiques. Je savais me faire des amis. Même si je ne les considérais pas de la même façon. Très vite, la compagnie de la Serdaigle m’ennuya. Je ne voulais pas la brusquer. Elle était sympathique et gentille fille. Seulement, j’avais besoin de solitude. Je fis mine d’avoir oublié un papier important. La Serdaigle me pardonna sans hésitation de la laisser ainsi et me proposa même son aide. En gentleman que je suis, je refusai sa proposition et m’éloignai, après lui avoir offert un chaleureux sourire et un bisou sur la joue –elle serait sans doute bloquée sur ce geste qui lui semblerait EXCEPTIONNEL venant de ma part-. La solitude. Voilà qui était plaisant. J’avais envie d’aller vers la tour d’astronomie. J’aimais ce lieu. Il n’y avait jamais personne. Il faut dire que rare était les élèves qui s’essayaient aux excursions nocturnes. De plus, j’avais besoin de me sentir seul, pendant quelques instants. Le trou béant dans mes entrailles me rendait si mal. Je ne me sentais pas bien. Dans la pénombre, je pouvais laisser mon visage se décontracter et laisser la souffrance s’installait sur mes traits. Seddy, papa, maman, mon frère…Ces gens-là, j’avais envie de les tuer. Tuer mon père, pour ne pas en être un. Tuer ma mère, pour n’être qu’une lâche, une faible. Tuer mon frère, parce qu’il n’était pas un fantôme auprès de ces parents…de nos parents ! Tuer Seddy…parce qu’elle ne sortait pas de ma tête. Me tuer pour n’être qu’un…pour être Zadig. Je me laissai aller à ces pensées moroses, tout en continuant de marcher. J’avançais avec sureté, quand soudain, j’aperçus devant moi, une ombre étrange. C’était un animal mort ?! Je m’approchai, calmement, essayant de réfréner mes craintes quand soudain, je réalisai que c’était quelqu’un d’allonger parterre. C’était bien ma veine. J’avais des larmes qui coulaient, sans le vouloir, le long de mes joues, j’étais torturé par la tristesse. En résumé, j’avais le visage défait. Heureusement, nous étions dans le noir. La personne n’avait pas pu voir tout cela. Je respirai un grand coup. Avant de parler ou de demander quoique ce soit, je devais me calmer. Je respirais, doucement. Une fois, une façade de glace peinte sur mon visage, mes larmes disparues, je sortis ma baguette et murmura « Lumos ». Ma surprise se fit ressentir.

    « Lila ?! » La jeune française était allongée sur le sol. Elle semblait dans une très mauvaise posture. Je l’observais quand mon regard rencontra son jambe. Elle s’était bien fait mal. Idiote. Je m’agenouillai près d’elle. Je devais être doux, sympathique. Ce Zadig délicat.

    « Tu t’es foutu dans un sacré pétrin. Je vais essayer de te sortir de là. » Je connaissais beaucoup de sort pour la sortir de cette mauvaise posture, mais je ne savais rien sur la médecine. L’infirmerie était de plus assez loin, et le temps que je puisse y arriver, Lila serait sans doute très mal en point. Elle semblait s’être touché une veine ou je ne sais trop quoi. Après tout, je ne connaissais rien à la science et à la médecine. Si ça se trouve ce n’était qu’une plaie plus profonde que les autres. Ceci était fort probable, d’ailleurs. Lila semblait complètement ailleurs.

    « Shit…Lila ? Tu peux me parler si tu veux. Je pense qu’il faut que tu restes éveillé. » Mes paroles n’étaient d’aucun secours. Je n’étais pas doué pour aider les gens. J’étais trop tordu, trop malsain, trop brisé…je ne savais comment faire pour parler. Mes pensées ne savaient plus se tenir. Je devais avant tout penser à Lila, mais j’étais égoïste. Mon malheur était trop grand.

    « Lila…Je ne sais pas si tu me comprends, mais je ne sais pas trop quoi faire. J’ai peur de te faire mal. » Cette phrase, au moins, était sincère. Ma main s’approcha de son visage. Je l’arrêtai en chemin. J’avais envie de la briser et de la toucher à la fois. Je ne devais pas l’effleurer. Je ne savais pas comment je réagirai. J’attrapai ma baguette puis récita un sort, assez complexe. Le parquet s’ouvrit, laissa apparaître un grand trou dans le sol et je pus ainsi dégager la jambe de la demoiselle. Effleurer sa peau, était plus ou moins une épreuve. Je ne savais pas pourquoi je réagissais ainsi, mais…mes pulsions étaient très étranges. Sa jambe recommença à saigner. Je l’examinai, pendant un instant. Je remarquai simplement un bout de parquet profondément enfoncé dans sa jambe. Je réprimai un frisson. Je n’aimais pas particulièrement la vue du sang. Je voyais l’heure qui tournait. Le règlement était plu que violer, mais qu’importe. Lila ne semblait pas très bien. Le sang coulait le long de sa jambe. Que faire ? J’aurais voulu qu’elle parle. Elle aurait peut-être su, elle. Je ne m’approchai pas trop d’elle. Je me contentai de tenir sa jambe. J’étais brisé, moi aussi. Aussi brisé que le parquet. Il m’en coutait de l’aider. J’aurais préféré la laisser ici. Blessée. Pourquoi ? Parce qu’elle savait trop. Parce qu’elle m’attirait. Parce qu’elle avait sans doute un sixième sens étrange.
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Message Posté Mar 7 Déc - 18:55.

« Je ne cherche pas à comprendre pour croire,
mais je crois pour comprendre. »


    L’étourdissement du au choc, avait peu à peu étourdi le sens réfléchit de Lila. Ses paupières devenaient plus lourdes chaque seconde. C’est avec l’aisance qu’elle accueillit le sommeil tel un vieille ami, la guidant dans les Nymphes, à mille contrés d’ici… Le sommeil de Buckley fut agité, chaque scène défilant devant ses yeux se présentait comme une immense douleur, chacun de ses proches étaient lentement torturés, alors qu’elle était emprisonnée et ne pouvait rien faire… Chacun des visages se dessinait, et quand vint le tour d’Adrien sa douleur atteignit des sommets, elle ne pouvait supporter cette scène. Mais quelques instants plus tard, son visage empreint de souffrance s’effaça, Lila ouvrit les yeux, un bruit l’avait réveillée. Un son plaintif lui échappa, derechef le belle battit des paupières faisant de cette sorte un rideau avec ses longs cils. Quelqu’un essayait de l’aider. Quelqu’un l’avait trouvée ! Au son de la voix du Serdaigle, son esprit réagit instinctivement, mais Lila eu un mal de chien à dire quelque chose, elle était encore trop engourdie pour avoir le moindre réflexe. Zeus essaya de se battre avec tant bien que de mal contre elle-même et parvint à ouvrir les yeux, s’étant acclimaté à la lueur que provoquait la baguette du jeune homme.

    Lila laissa l’homme des bleu et argents faire, elle analysait inconsciemment chacun de ses gestes, trop sonné par la douleur pour se sortir de là. Il voulait qu’elle parle, mais que dire si ce n’est merci ? Lila ne préféra pas ouvrir la bouche de peur de laisser échapper une plainte déchirante. Un éclat anima le visage de la blonde quand elle se rendit compte que Zadig l’avait libérée. D’ailleurs il semblait hésitant, n’osant pas toucher le visage de Lila. Avait-il peur de lui faire mal ? Lila se promit de se renseigner sur lui dès qu’elle irait mieux, l’homme en face d’elle avait une faille… la belle en était sure, mais ne savait pas qu’elle ampleur elle prenait.

    Le morceau de bois ne stoppai plus l’hémorragie. C’était un juste retour de bâton, Lila devrait être plus prudente à l’avenir. Bien que son cerveau soit complètement embrouillé, l’élève de Zeus se concentra, Zadig avait peur de mal faire, elle ne voulait pas qu’il se sente inutile plus longtemps. Après quelques instants de réflexion, Lila opta pour un sortilège de guérison rapide, ne pouvant déposer quelques gouttes de dictame sur sa plaie lancinante. Buckley rassembla tout ses esprits, souffla et formula dans sa tête le sort. Sans le vouloir, un cri s’échappa de ses lèvres, avant qu’elle ne se morde le poing pour étouffer le son. La douleur était atroce, reformait des morceaux de peau à vitesse grand V, stimulait beaucoup d’effort. Avec la rapidité d’un chaton, Lila prit les choses en main, elle hotta sa cape et s’en fit un garrot, puis se releva encore chancelante. La jeune fille attrapa la main de Zadig, et se releva, elle dit quelques pas maladroit, et les guida à travers le château. Sur leurs chemin les personnages des tableaux s’agitèrent, Lila les ignora et trouva enfin le lieu souhaiter : un passage secret.

    Lila était connue pour avoir le sang froid, et du courage. Une fois qu’elle fut arriver en lieu sure, elle tomba sur le sol tel une loque humaine. Heureusement que Tasilia lui avait montré cette échappatoire, parce que son cri avait du réveiller plus d’un patrouilleur dans Poudlard… La belle souffla, et affronta Zadig du regard :

      - Merci, je te remercie de tout mon cœur… chuchota-t-elle d’un charment accent français.


    A présent, Lila était en lieu sure, bien qu’elle soit fatiguée par ses mésaventures, le mystère qui planait autour du jeune homme, la teint éveiller. Buckley avait su lire sur son visage l’espace d'un instant la douleur (la haine ?) qu’il trainait avec lui. Ayant toujours eu le cœur sur la main, Lila voulut l’aider à son tour, qu’il lui parle de ses malheurs. Elle voulait être là pour lui, Lila hésita quelques instants, plongea à nouveau son regard dans celui topaze de Zadig et se lança :

      - Je… hum… je crois… Tu as l’air de souffrir, ça va ?


    Le teint blanchâtre de Lila rosie légèrement quand elle acheva sa question. Elle n’espérait qu’une chose, offrir un peu de sa chaleur de vivre à Zadig.
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Message Posté Lun 20 Déc - 16:13.