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Hearts are made for breaking and for pain ♣ Alexandre [PM]
ϟ celui qui lit ce titre est un elfe de maison. Ceci était la touche d'humour de Thor.
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Message Posté Dim 2 Juin - 6:40.



i wanna live like music, rolling down the streets.
hey looking at you i wanna take you to the back of the room..

★ noms des participants: Alexandre & Annaleigh.
★ statut du sujet: Privé.
★ date: Début du mois.
★ heure: Dans l'après-midi, juste après les cours.
★ météo: Il pleut.
★ saison: Saison 2.
★ numéro et titre de l'intrigue globale en cours: 2x05
★ numéro et titre de l'intrigue en cours: 2x05
★ intervention de dominus: Non merci.
★ récompenses: Pas encore (a)





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Message Posté Dim 2 Juin - 7:02.
Il a essayé de te frapper. Il y avait quelque chose dans ce simple fait, ces simples mots, qui te faisait frissonner de façon incontrôlable. C’était si invraisemblable, si étrange et si inhabituel que tu n’arrivais tout simplement pas à comprendre. Il y avait de ces choses qui t’échappaient, tu en étais bien consciente, mais ça, tu ne pourrais jamais accepter de rester dans l’ignorance. Tu devais savoir. Il te devait tes explications. Pourquoi ? Ce n’était pas lui. Tu le savais bien. Tu le connaissais encore mieux que tu ne te connaissais toi-même. Tu connais tous ses secrets, son passé, ses manies, ses activités. Vous avez correspondu depuis tellement longtemps que tu ne te rappelles même plus comment ça a commencé. Tout ce que tu sais, c’est que même si tu n’arrives toujours pas plus à prononcer son nom correctement, tu l’adores, et c’est réciproque. Alors, normalement, il ne devrait pas te faire un truc pareil, surtout pour une connerie de ce genre. Tu lui avais promis que tu ne lui ferais jamais de mal, et il te l’avait promis aussi. C’est le genre de promesse qu’on fait comme ça, à la légère, et que soudainement on se met à prendre au sérieux quelques années plus tard. Tu avais toujours été là pour lui et, jusqu’à la semaine passée, tu pensais encore que c’était aussi son cas. Tu croyais que vous étiez inséparables et que vous pouviez tout vous dire. Bon, évidemment, toi, tu ne pouvais pas tout lui dire, malgré ta promesse de ne jamais lui faire de mal, donc par conséquent de ne jamais lui mentir et de trahir sa confiance. Tu ne le faisais pas parce que tu pensais qu’il n’était pas digne de confiance, loin de là. Tu le faisais parce que tu avais fait une autre promesse, à un autre homme. À Jude. Tu lui avais promis que tu n’en parlerais jamais à personne et, pour le moment, malgré quelques petits soupçons de tes plus proches d’amis et des plus fouineurs de Poudlard (foutu August) personne n’était réellement au courant. Tu avais réussi à tenir parole, et tu avais l’impression que protéger Jude était plus important que de ne pas mentir à Alexandre sur ce point. Parce qu’au fond, c’était le seul point sur lequel tu n’étais pas entièrement honnête. Le reste, il savait tout. Ton père, ta blessure, ta musique et ta danse. Il était au courant. Tu pouvais bien lui cacher ta relation avec Jude. Non ?

Lui mentir te tuait. Tu devais le regarder dans les yeux à tous les soirs en lui disant que tes retenues t’emmerdait et que tu ne savais pas pourquoi tes profs s’acharnaient sur toi, alors que tu savais très bien que c’était toi qui s’acharnait pour avoir les retenues en question. Tu savais qu’Alexandre n’était pas dupe, à son sourcil qui se levait très légèrement alors que tu te plaignais d’une injustice que tu avais clairement cherché. Mais, tu ne disais rien. Pas plus lorsque tu t’éclipsais subitement et que tu ne revenais qu’une heure plus tard, toute fraîche et souriante. Tu lui racontais n’importe quoi pour ne pas qu’il le découvre, pour ne pas l’impliquer, pour ne pas qu’il sache. Et mentir à son meilleur ami, ce n’est pas facile, même si c’est pour le protéger et protéger l’homme que tu aimes. Tu voudrais tant lui en parler, en parler à quelqu’un. Toi, tu étais bien là pour lui si un jour il voulait te parler de la femme de ses rêves. Tu voulais lui dire à quel point Jude était parfait, tellement mignon, attentif et tout. Et qu’il te faisait rire. Tu voulais lui raconter tous ces petits détails insignifiants mais qui voulaient dire quelque chose, parce que c’était ton meilleur ami et qu’il comptait énormément pour toi. À la place, tu lui souriais, tu lui donnais un câlin et tu lui assurais que tout allait bien, que ta journée s’était bien passée et que non, il ne s’était rien passé de spécial. Que oui, tes retenues t’emmerdaient. Que oui, parfois tu étais intenable en classe, mais que c’était juste une mauvaise passe, qu’il n’avait pas à s’inquiéter. Tu lui plantais un bisou sur le front et tu lui mentais de façon éhontée en le regardant directement dans les yeux. Tu étais horrible.

Seulement, cette fois-là, ça a été trop loin. Tu sortais de ta retenue et il était là, à t’attendre. Il avait sa tête de « il faut qu’on se parle » et il t’avait entraînée un peu plus loin, te posant quelques questions sur ton comportement récemment, si tu étais sûre que tout allait bien, ce qu’il se passait réellement dans tes trop nombreuses retenues, si tu ne faisais peut-être pas exprès. Tu as nié en bloc, l’accusant de tout ce que tu pouvais, le culpabilisant même – tu ne me fais pas confiance ? Je pensais qu’on avait passé ce stade, t’es ni mon père ni mon copain que je sache – bref, que du bonheur. Mais comme tous vos malentendus, tu pensais que ça allait se finir en cinq minutes avec des rires, que vous alliez vous donner un câlin style bisounours et que ça allait se finir là. Mais non. Pas cette fois-là. Cette fois-là, il a levé le poing, le visage déformé, et il a frappé le mur à trois centimètres de ta tête. Traumatisée, tremblante, tu l’as poussée et tu es partie en courant pour t’enfermer dans les toilettes, où tu es restée presque toute la soirée.

Tu ne pouvais plus vivre comme ça, à ne plus lui parler, à le regarder aller s’asseoir à l’autre bout de la classe quand il avait bien vu que tu lui avais gardé une place. Tu n’arrivais plus à supporter son regard fuyant, son pas rapide et ses changements soudains de direction lorsqu’il t’apercevait. Tu n’arrivais pourtant jamais à aller le voir, pensant que c’était à lui de venir te parler, pour au moins s’excuser. Mais non. Même si avoir cette conversation avec lui te tentait autant que te faire bouffer le bras par un hippogriffe, tu l’as quand même suivie comme une vraie espionne lorsque vous êtes sortis de votre dernier cours commun de la journée. Puis, dès qu’il s’est retrouvé seul, tu as accéléré le bras et tu l’as attiré dans un coin sombre, histoire de raviver les rumeurs qui couraient parfois à votre sujet. Après tout, c’est un peu grâce à toi qu’il s’est retrouvé à Poudlard au lieu d’être à Durmstrang, par exemple. Vous vous regardez pendant de longues secondes, et tu lâches finalement sa main que tu serrais très fort en voyant qu’il ne tentait pas de s’échapper, ou mieux, de t’assommer pour s’enfuir en courant ensuite. Tu as dégluti un peu difficilement avant de te lancer, ayant presque l’air assurée.

« Delacourt, fais-tu finalement avec ton mignon petit accent anglais, je pense que tu me dois une explication. »
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Message Posté Dim 2 Juin - 12:23.



Living in a city of sleepless people, Who all know the limits and won't go too far outside the lines, Cause they're' out of their minds. I wanna get out and build my own home, On a street where reality is not much different from dreams I've had, A dream is all I have... Daydreaming, Daydreaming all the time, Daydreaming, Daydreaming into the night, And I'm alright, Creep past the hours like the shorter hand on the clock, hanging on a wall of a schoolhouse somewhere, We wait for the bell , And we dream of somewhere else, Daydreaming, Daydreaming all the time, Daydreaming, Daydreaming into the night, And I'm alright, Not that I won't remember where I'm from, Just don't wanna be here no more, It's not enough, (We're only half alive), I'm gonna go, (We're only half alive), Where the rest of the dreamers go, Where the dreamers go, Daydreaming, Daydreaming all the time, Daydreaming, Daydreaming into the night, And I'm alright, Daydreaming, Daydreaming all the time, Daydreamer, We used to be half alive, Now I'm alright

Daydreaming into the night, and i'm alright