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I want him to be my everything ♣ Euphy [PM]
ϟ celui qui lit ce titre est un elfe de maison. Ceci était la touche d'humour de Thor.
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Message Posté Ven 17 Aoû - 22:00.



i wanna live like music, rolling down the streets.
hey looking at you i wanna take you to the back of the room..

★ noms des participants: Fulmina C. Pletorn & Euphyllidia A. McGonagall
★ statut du sujet: Privé (flashback.)
★ date: Début d'année 2056, le jour suivant la rencontre d'Alistair et de Fulmina.
★ heure: Premier cours de la journée.
★ météo: Il fait plutôt beau.
★ saison: Saison 1.
★ numéro et titre de l'intrigue globale en cours: 2x01
★ numéro et titre de l'intrigue en cours: 2x01
★ intervention de dominus: Non merci.
★ récompenses: Non.





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Message Posté Ven 17 Aoû - 22:00.
Tu avais passé la nuit dans ses bras, à rire, à parler, à vous embrasser. Tu lui avais raconté ta vie, ta famille, ce que tu savais sur ta maladie et comment les gens réagissaient généralement à cette annonce. Il t’avait parlé de sa propre famille, de ses secrets, de ce qu’il aimait et ce qu’il détestait. Tu t’étais finalement endormie contre lui aux petites heures du matin, la tête enfouie dans son cou. Il t’avait réveillé pour que vous puissiez rejoindre vos lits respectifs sans éveiller de soupçons. Vous vous êtes promis de vous rencontrer en haut de la tour d’Astronomie le soir même, et il te tardait déjà d’y être. Il te fallait simplement passer à travers ta journée de cours, et tu avais bien hâte de retrouver Euphyllidia pour tout lui raconter. Tu ignorais totalement comment elle allait réagir à l’annonce, mais tu ne voyais pas comment elle ne pourrait pas être contente pour toi. Elle ne connaissait probablement pas Alistair, et ne pouvait donc sûrement pas émettre des réserves quant à ton choix de copain. Peut-être avait-elle entendu parler de sa famille, par contre, et aurait donc des réserves. Tu n’en savais rien. De toute façon, tu le lui dirais, tu ne pouvais pas cacher quelque chose d’aussi gros à ta meilleure amie. Tu espérais simplement ne pas avoir à la convaincre que c’était le bon, et que c’était avec lui que tu voulais être. Tu aurais voulu que ce soit simple, mais tu savais que ce ne le serait pas, et que plusieurs se moqueraient de vous. Surtout les Serpentards, évidemment. Un Silverpyre avec une simple Poufsouffle, ça se saurait, et les gens parleraient. Tu aurais préféré qu’il en soit autrement, que tu puisses sortir avec qui tu le voulais sans qu’on te juge continuellement, mais cette fois-ci, tu te battrais, parce qu’il en valait la peine et que tu croyais que cette relation allait vous mener à quelque part. Tous les deux. Ensemble.

Tu n’avais pas réussi à dormir pendant l’heure qui te restait avant de te lever. Tu écoutais le souffle régulier des filles qui dormaient à côté de toi. Tout était silencieux, tout était si calme et reposant. Tu avais l’impression que le monde retenait son souffle, et que tout allait exploser aujourd’hui, que cette heure n’était qu’une parenthèse et que tout recommencerait à tourner lorsque tout le monde se lèverait pour aller manger. Tu te demandes combien de temps les gens ignoreront ta relation avec Alistair. Probablement pas bien longtemps. Vous aviez croisé quelques élèves lorsque vous courriez jusqu’à la tour d’astronomie, main dans la main. L’école était peut-être déjà au courant et tu n’aurais probablement pas la paix avant longtemps, avant que tous s’habituent à cette relation inhabituelle. Personne ne pensait que tu réussirais à te dénicher un garçon qui voudrait bien être avec toi malgré ta maladie. Tu en doutais toi aussi. En fait, si tu t’en tenais à ton plan de départ pour le 24 juin 2056, tu n’aurais jamais dû rencontrer Alistair. Tu n’aurais jamais dû t’attacher, parce que tu sais que maintenant, il va t’être extrêmement difficile de partir en le laissant derrière toi, parce que tu étais convaincue que votre relation tiendrait au moins un an. Jusqu’à ce que tu meures, que tu disparaisses et qu’il puisse enfin vivre sa vie sans être retenue par la petite malade que tu étais.

Les filles autour de toi commencent à se réveiller, et tu te lèves donc. Vous discuter un peu, et tu es soulagée de voir que rien n’a changé. Elles te demandent néanmoins pourquoi n’es pas venue te coucher avec elles la veille, et tu expliques que le parchemin que vous aviez à rendre ce matin en défense contre les forces du mal t’avais complètement échappé de la tête et que tu avais dû le faire en entier hier soir. Elles compatissent, gentilles qu’elles sont, et elles ne se doutent pas du tout que tu as en fait passé la nuit dans la forêt interdite et dans la tour d’astronomie. Elles n’ont pas vraiment besoin de le savoir. L’une d’elle n’avait néanmoins rien dit, et fixait ton cou avec application. Tu déglutis difficilement, tu lui souris, mais elle ne fait aucun commentaire sur les traces qui marquent encore ton cou. Tu t’en veux de ne pas avoir de foulard à mettre, pour cacher ces traces et éviter les regards indiscrets. Euphy les verraient, tu en étais convaincue. Elle remarquait toujours ce genre de détails qui t’échappaient continuellement, et intelligente comme elle est, elle saurait également que ces marques étaient dû à un étranglement, et non pas à toutes les bêtises que tu voudrais bien lui sortir pour expliquer le phénomène. Tu te résous donc à lui dire la vérité. Au moins, elle va pouvoir dire ce qu’elle veut sur ta nuit avec Alistair, mais elle ne pourra pas dire que tu ne le lui avais pas dit ni que tu lui avais menti.

Ton première cours était défense contre les forces du mal, avec les Gryffondors. C’était encore mieux que ce que tu espérais au départ. Tu pourrais donc tout lui raconter, là, maintenant, tout de suite, et elle serait la première à le savoir – ou du moins, à l’entendre de ta bouche. Tu espérais sincèrement que vous n’aviez pas croisé de Gryffondor en courant vers la tour d’astronomie, sinon, ta meilleure amie serait déjà au courant qu’il se tramait quelque chose entre toi et le Serpentard. Tu lui avais toujours dit que tu le trouvais mignon, et elle avait probablement remarqué que tu rougissais souvent lorsque son regard se posait sur toi. Néanmoins, cela vous avait pris du temps à tous les deux avant d’aller l’un vers l’autre, mais maintenant que c’était fait, tu ne laisserais personne te dire que c’est une mauvaise idée et tu irais de l’avant. Tu es donc allée manger rapidement dans la Grande Salle, pour retourner te préparer à ton cours. Tu prends donc le parchemin dû aujourd’hui que tu avais déjà fait quelques jours plus tôt, tu attrapes ta baguette et tu te diriges donc au premier étage pour le cours, voulant arriver quelques minutes d’avance, sachant que ta meilleure amie n’était jamais en retard pour un cours, et qu’elle arrivait souvent un peu avant le début de ce dernier. Tu pourrais donc lui en souffler quelques mots avant le cours, et tu t’en félicitais. Être prise à parler pendant un cours de défense contre les forces du mal et devoir raconter à tout le monde ce que tu chuchotais à ta meilleure amie, tu n’y tenais franchement pas. Ils le sauraient tous bien assez tôt, les nouvelles circulent vite à Poudlard.

Euphyllidia entre dans la classe, et tu lui fais un radieux sourire ainsi qu’un geste très insistant pour qu’elle vienne s’asseoir à côté de toi. Tu n’avais probablement pas à le faire sachant que vous vous assoyiez toujours à côté pendant les cours, mais tu n’y pouvais rien. Tu voulais vraiment lui raconter. Tu lui souriais toujours alors qu’elle s’installe à côté de toi, et qu’elle remarque finalement ton cou, et que le livre qu’elle tenait dans ses mains pour le mettre sur sa table tombe dans un bruit sourd. Et toi, tu lui souris toujours, alors qu’elle t’observe avec des yeux ronds.

« Il faut absolument que je te raconte ce qui s’est passé cette nuit, c’était dingue ! »
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Message Posté Sam 18 Aoû - 16:24.
A Poudlard, il y a plusieurs types d'élèves. Il y a ceux qui traumatisent les plus jeunes et qui restent en bande, assis sur les rebords des grandes arches des couloirs extérieurs. Il y a ceux qui courent toujours, en retard à chaque cours. Il y a ces filles qui restent ensemble et ne semblent fonctionner que par pairs. Il y a ces garçons qui pensent que cacher des magazines de quidditch dans des manuels scolaires leur permettent de lire en paix pendant les classes. Ou encore il y a ceux qui rient tellement fort en face des salles de classes qu'ils dérangent celles-ci. Puis il y a Euphyllidia.

Elle était constamment les yeux plongés dans un livre et ce matin-là n'était guère une exception. Le livre qu'elle tenait dans ses mains était un vieil exemplaire dont le cuir noir était déchiré ça et là. On pouvait voir sur la couverture à travers ses doigts délicats, de fines lettres dorées qui brillaient plus ou moins fort selon la vitesse à laquelle Euphyllidia lisait. Grandeur et décadence de la magie noire était le titre de l'ouvrage qu'elle avait emprunté la veille à la bibliothèque et la bibliothécaire lui avait fait cadeau d'un marque-page magique qui à mesure qu'elle approchait de la fin du livre, changeait de couleur et de taille car ce livre était le 500ème qu'elle lisait depuis son inscription à Poudlard. Euphyllidia soupira et s'adossa au mur de pierre, laissant son sac de cours tomber sur le sol dans un bruit sourd. Il lui restait un quart d'heure avant de pouvoir entrer dans la salle de cours. Elle décida de fermer son exemplaire en faisant bien attention d'y glisser son marque-page et de le ranger dans son sac, puis elle en sortir son devoir de Défense contre les forces du mal qu'elle devait rendre ce matin.

En ce début d'année, le professeur avait été compatissant quant à l'oubli de la plupart des notions apprises l'année précédente, qui avait été très mouvementée. Ainsi, afin de remettre à jour les connaissances de ses élèves, il avait demandé un mètre trente deux de parchemins sur les inferis et les détraqueurs. Euphyllidia avait passé plusieurs heures à chercher le plus grand nombre d'informations sur les deux plus grands sujets du programme de sixième année et avait ainsi réalisé un mètre cinquante de parchemin sur les inferis et un mètre quatre-vingt-dix sur les détraqueurs. Elle avait donc décrit avec détails l'apparence, les attaques et les armes ainsi que le sort avec lequel les sorciers pouvaient se protéger contre ces créatures mais aussi les attaques les plus connues et sanglantes du monde sorcier. Son devoir dépassait certainement tout ceux de ses camarades de classes et le professeur attendait surement un travail de cette longueur de la part de la jeune McGonagall. Euphyllidia relut donc avec soin le parchemin et une fois fait, elle se releva et ressortit son livre. C'est à ce moment là que le professeur arriva avec quelques minutes d'avance, il lui sourit et la salua poliment puis l'invita à rentrer.

Lorsqu'elle entra, elle fut rapidement suivit par quelques élèves dont Fulmina Pletorn, sa meilleure amie depuis six ans. Celle-ci fut plus rapide que son amie brune et s'installa contre le mur, faisant de grand signes à Euphyllidia pour qu'elle vienne s'asseoir près d'elle. La jeune sorcière soupira et ne put s'empêcher de sourire en voyant que même après six ans d'amitié, Fulmina pouvait toujours agir comme si Euphyllidia n'était pas encore tout à elle ou comme si la Gryffondor pouvait retourner sa robe de sorcier et s'en aller s'asseoir avec ses amies rouge et jaune. Elle s'avança, sourire aux lèvres, vieux livre entre les mains, sac sur son épaule et posa celui-ci sur la table en bois pleine de graffiti. Mais une fois plus près de la blondinette, Euphyllidia laissa son livre tomber sur le bureau dans un bruit sourd et s'empêcha de pousser un cri de surprise. De ses yeux ronds, elle fixa avec intensité le cou de son amie. Dans le brouhaha de l'entrée du reste de la classe, Euphyllidia s'assise, ignorant ce que Fulmina lui disait, n'entendait que dingue, parce que oui, la Poufsouffle l'était.

-Fulmina ! Qu'est-ce que c'est que ça ? siffla-t-elle.

Elle lui lança un regard noir de ses yeux perçants, même si sa voix trahissait son inquiétude. Elle retira une mèche de cheveux blond qu'elle lança derrière l'épaule de son amie et fixa les traces violettes sur son cou. Elle savait de quoi il s'agissait, depuis le départ elle l'avait vu et ne voulait entendre son amie le dire que pour que celle-ci réalise de l'horreur que c'était. Le calme dans la salle de classe revenu. Elle s'assise bien droite sur le banc en bois et fixa le professeur et le tableau. Attendant quand même une réponse de Fulmina. Derrière plusieurs cages en fer contenant de petites créatures, Albus était assis de l'autre côté de la fenêtre, sur le rebord, son pelage feu rayonnant sous les rayons du soleil. Il observait sa maîtresse de ses yeux jaunes, sans faire de bruit pour ne pas attirer l'attention des autres élèves ou du professeur, le fléreur ne quittant jamais la sorcière.

« Maintenant, déposez vos devoirs sur mon bureau, pendant que j'écris l’énoncé du cours. Allez, dépêchez vous ! »

Soudainement, une quarantaine de parchemins enroulé s'éleva dans les airs et se déposèrent sur le bureau du professeur dans une pyramide parfaite. Euphyllidia s'empressa d'ensorceler son devoir d'un Wingardium Leviosa et celui-ci se déposa sur la pile en toute légèreté.
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Message Posté Jeu 23 Aoû - 5:23.
Il te tardait de lui raconter. Tu étais simplement un peu inquiète à cause des marques dans ton cou, qui, sans être aucunement douloureuses, étant néanmoins encore bien visibles. Il n’y était pas allé de main morte, et tu le savais. Tu sentais encore l’air quitter tes poumons, la difficulté que tu avais eu à respirer après coup. Tu sentais encore la pluie qui dégoulinait sur ta peau et dans tes cheveux, qui collait tes vêtements à ta peau. Tu te rappelles t’être débattue pour retirer l’étau qui se refermait sur ton cou, tu te rappelles avoir faibli, tu te rappelles de ta vision qui devenait trouble… Puis brusquement, tu es tombée sur le sol, à respirer le plus profondément possible malgré ta gorge meurtrie. Tu t’en rappelles parfaitement bien, et tu sais que malgré tout ce que vous avez vécu le reste de la nuit, tu ne pourras jamais oublier la sensation de ses mains enserrant ta gorge, et au regard que ton amie t’a lancé en entrant dans la classe, tu voyais bien qu’elle ne pourrait pas l’oublier non plus, et que quoique tu dises, il serait très difficile de lui faire comprendre que toi et Alistair, c’était fait pour durer aussi longtemps que toi tu durerais. Tu en étais tout à fait convaincue après seulement quelques heures passées en sa compagnie, et tu espérais que tes proches finiraient par l’accepter. Tu savais qu’ils auraient besoin de temps, et que tu ne pourrais pas les convaincre en trois minutes. Après tout, tous savaient ce que les Serpentard te font endurer, et tous connaissent la haine que tu éprouves envers eux, alors te voir sortir avec un vert et argent, ce ne sera probablement pas bien vu.

Tu aurais tant aimé qu’elle te sourit, qu’elle te dise qu’elle comprenait, qu’elle l’acceptait, et qu’elle voulait bien t’aider à surmonter tous les regards qu’on te lancerait. Qu’elle serait avec toi là-dessus, comme elle l’était toujours. Vous aviez toujours été là l’une pour l’autre, et tu ne voulais pas qu’elle te laisse tomber cette fois-ci, alors que c’était si important pour toi. Tu ne voulais pas que ta relation avec Alistair entache ton amitié avec Euphyllidia. Tu venais juste de le rencontrer, et pourtant tu avais l’impression de déjà le connaître aussi bien qu’elle, à qui tu parlais tous les jours depuis six ans. Tu n’avais jamais connu cette sensation, qui pourtant était si agréable. Tu te sentais si heureuse, et même le regard de ton amie, figé sur les marques dans ton cou, ne pouvait miner ton moral. Tu n’aurais su dire ce qui te rendait si heureuse, ni pourquoi tu étais convaincue que tu faisais le bon choix. Après tout, peut-être avais-tu tort. Peut-être que vous alliez vous disputer atrocement, peut-être que plus ta mort approchait, plus il allait prendre peur. Tu n’en avais pas la moindre idée. Peut-être qu’au contraire, il s’accrocherait, et que tu pourrais traverser tes problèmes grâce à lui et à son soutien. Juste savoir qu’il était là et que, comme il t’avait promis, il serait toujours là, faisait battre ton cœur plus vite qu’il ne battait normalement. La journée serait longue sans le voir, sans réellement pouvoir lui parler, et il te tardait de le retrouver ce soir, comme il te l’avait promis. Tu ne le connaissais pas assez pour pouvoir savoir s’il était du genre à tenir ses promesses, mais la tendresse que tu avais vue dans ses yeux lorsqu’il te l’avait juré ne te laissait aucun doute sur la question. Tant pis si Euphyllidia t’interdisait de le revoir. Tu savais qu’il ne te ferait plus jamais mal, et tu sais que cet instant où il a essayé de t’étrangler hantera toujours ses yeux lorsqu’il te regardera et qu’il s’en voudra.

Tu cherches néanmoins tes mots, maintenant que vous étiez toutes les deux assises et que ton amie attendait définitivement des explications claires. Tu aurais dû mettre un foulard, quelque chose. Certes, tes longs cheveux cachaient une partie des traces laissées par ses doigts, mais les marques étaient néanmoins visibles. Tu ne bouges pas quand Euphy repousse une mèche de tes cheveux pour mieux observer ton cou. Tu sais que tu ne pourras pas te soutirer à un interrogatoire serré, alors tu préférais t’y plier plutôt que de tenter de t’esquiver. Certes, tu aurais pu lui faire un clin d’œil, écouter le cours de défense contre les forces du mal. Tu aurais pu, bien sûr. Mais tu ne l’as pas fait. Tu voulais qu’elle sache, tu voulais qu’elle tente de comprendre ton point de vue, même si tu te doutais qu’après ces marques, tu devrais te battre pour la faire accepter Alistair. Tu ensorcelas ton devoir d’un Wingardium Leviosa en même temps que tes camarades, puis tu te retournes vers ton amie, qui t’observes toujours. Décidément, elle ne lâchera pas le morceau. C’était à prévoir, n’empêche, c’était quand même Euphyllidia.

« Euphy, s’il te plaît, écoute-moi avant de le juger. C’est… C’est Alistair, tu t’en rappelles, je t’en avais parlé. Tu étais sûre qu’elle s’en rappelait. Tu ne parlais jamais de garçons, parce qu’aucun ne t’avait réellement intéressé jusqu’à tout récemment, mais cela fait désormais plusieurs années que tu observes le Serpentard sans vraiment oser aller lui parler. Je me suis fait frapper par des Serpentard hier – non, ne t’inquiète pas, c’est rien de grave, ils aiment bien faire tomber mes livres, ce genre de trucs – et je suis allée dans la Forêt Interdite pour prendre l’air un peu, tu vois. Puis il est arrivé, il était très en colère, je sais pas du tout pourquoi. C’est de ma faute aussi, Euphy, il m’a demandé de partir parce qu’il ne voulait pas me blesser, mais je suis restée là. Tu te retins de justesse d’ajouter un et j’ai bien fait! sinon tu allais traumatiser ton amie pour le reste de sa vie. Et il a… Il a… Enfin, tu vois bien ce qu’il a fait. Tu es un peu penaude, désormais, et tu baisses un peu la tête, comme un enfant qui avoue à sa mère qu’il a encore fait une gaffe. Puis il m’a lâchée, et il avait l’air tellement effrayé, il avait l’air de s’en vouloir tellement que j’ai voulu comprendre, même s’il m’a répété plusieurs fois de m’en aller. Tu me connais, hein. Puis je… »
« Mesdemoiselles, je ne veux pas vous déranger, mais c'est à mon tour de parler désormais. »

Tu te tais brusquement, et te redresses sur ta chaise, jetant des coups d’œil fréquents à ton amie, voir comment elle réagissait. Probablement très mal. Tu attendais les remontrances qui ne tarderaient probablement pas.
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