VULNERA SAMENTO FERME SES PORTES ▲
Merci à tous pour avoir pris part à cette formidable aventure.

en savoir plus
Le Deal du moment : -28%
Précommande : Smartphone Google Pixel 8a 5G ...
Voir le deal
389 €

I shall die of having lived ♣ Athanaël [PM]
ϟ celui qui lit ce titre est un elfe de maison. Ceci était la touche d'humour de Thor.
Anonymous
Invité
this is the wizzarding world of
Invité
informations



I shall die of having lived ♣ Athanaël [PM] Empty
Message Posté Sam 15 Déc - 4:15.



i wanna live like music, rolling down the streets.
hey looking at you i wanna take you to the back of the room..

★ noms des participants: Fulmina & Athanaël
★ statut du sujet: Privé.
★ date: Une semaine après la mort d'Alistair.
★ heure: En soirée.
★ météo: Il pleut.
★ saison: Saison 2.
★ numéro et titre de l'intrigue globale en cours: 2x03
★ numéro et titre de l'intrigue en cours: 2x03
★ intervention de dominus: Non merci.
★ récompenses: Non.







Dernière édition par Fulmina C. Pletorn le Lun 17 Déc - 1:25, édité 1 fois
Anonymous
Invité
this is the wizzarding world of
Invité
informations



I shall die of having lived ♣ Athanaël [PM] Empty
Message Posté Sam 15 Déc - 4:18.
I shall die of having lived ♣ Athanaël [PM] Tumblr_lwqxx1yjCJ1qefatio1_500

Lorsque tu t’étais levée ce matin, tu avais cru qu’il serait là. Tu ne réalisais toujours pas qu’il était mort, définitivement mort, et qu’il ne serait plus jamais à tes côtés à ton réveil, à moitié endormi, les cheveux en bataille, te suppliant de rester quelques minutes de plus alors que vous saviez pertinemment bien que vous étiez tous les deux en retard. Mais tu étais dans ton lit, dans ton dortoir, et pas dans votre petit refuge à vous, tout en haut de la tour d’astronomie. C’était un samedi, votre journée à vous, où vous traîniez ensemble, à faire vos devoirs, à vous raconter votre semaine, à vous embrasser dans les coins sombres de Poudlard, à rire trop fort dans la bibliothèque, à boire du chocolat chaud devant le feu en hiver. C’était ta journée préférée, celle où vous étiez ensemble, et que rien ne semblait pouvoir vous séparer. Tu allais bien, ta maladie ne progressait pas trop vite. Tu pensais donc, naïvement, que comme tu ne partirais pas tout de suite, il allait rester éternellement, ou du moins, pendant ton éternité à toi. Et, égoïstement, tu n’avais pas pensé à ce qu’il adviendrait de lui lorsque tu serais partie, toujours aussi convaincue qu’il ne pouvait pas t’aimer autant que tu l’aimais, qu’il ne pouvait pas penser autant de bien de toi que tu en pensais de lui. On pouvait penser que tu étais de celles qui ne pouvaient vivre sans leur copain, qui ne pouvaient vivre célibataires. Ce n’était pas ça du tout. Simplement, quand ledit copain vous sauve la vie, tant mentalement que physiquement, il est normal qu’un lien fort se créé entre vous. Et que ton célibat ne te faisait pas peur. C’était la perspective de vivre sans lui qui t’effrayait. C’était reprendre des habitudes à toi et oublier celles que vous aviez ensemble. C’était oublier toute cette dernière année, tout simplement.

Tu n’avais rien fait de ta journée, prétextant être malade. Personne n’avait tenté de te tirer du lit, de te tirer de ta torpeur. Une semaine seulement après la catastrophe à Beauxbâtons, après sa mort, tous savaient que tu avais besoin de temps pour avaler la nouvelle. Et, en soirée, tu t’étais enfin levée. Tu étais allée manger avec tout le monde, dans la Grande Salle, et un silence de mort s’était fait à votre table lorsque tu t’es assise. De longues secondes où tous te regardaient, comme s’ils attendaient quelque chose de toi. Tu n’as rien dit. Tu n’avais rien à leur dire. Alors, lentement, les conversations ont repris, et plus personne ne s’est intéressé à toi. Ce n’est que plus tard dans la soirée que tu t’es retrouvée dans le théâtre, sans véritablement savoir pourquoi tu y étais. Peut-être parce que tu voulais terriblement être seule et que tu pensais naïvement que tu le serais là-bas, et personne ne pourrait t’entendre, te voir, te juger, te regarder, ou pire, tenter de te parler. Tu savais qu’à un certain point, tu devrais parler à des gens. Voir du monde. Tenter de passer à travers. Car, seule, tu n’y arriverais jamais. Seule, tu ne verrais que lui, tout autour de toi, et ça, tu ne pouvais pas le supporter. Tu ne voulais pas l’oublier, mais y penser te faisait tellement mal que tu ne savais pas où trouver le juste milieu.

Assise sur la scène, les pieds dans le vide, tu regardais bien en face le projecteur qui t’aveuglait. Toute la salle était noire, il n’y avait que cette lumière qui t’éclairait, te réchauffait, te rendait vivante. Tu regardais droit devant toi, tous ces sièges vides que tu distinguais à peine à cause de la lumière en face de toi. Tu pensais à lui, à tous ceux qui avaient tenté d’être là pour toi mais que tu repoussais, n’étant pas encore prête à en parler à cœur ouvert. Tu savais, au fond de toi, que tu avais besoin de quelqu’un, pour ne pas te sentir toute seul, mais tu n’étais pas prête à parler, pas encore. C’était trop récent, trop dur, et trop personnel. Tu avais l’impression que si tu racontais tout ce que tu aimais de lui et toutes vos habitudes, celles-ci ne t’appartiendraient plus, ce ne serait plus vos secrets à vous, et ça te rendait malade rien qu’à y penser. Tu étais allée dans le théâtre pour faire le point, pour être seule, pour ne plus penser. Alors tu as tenté de vider ton esprit, encore et encore, de faire le vide, de ne plus penser à rien. De l’oublier, quelques instants, de voir ce que ça faisait. Sauf que le blanc de ton esprit, c’était encore pire. L’oublier, c’était pire. Tu t’en voudrais si tu oubliais son timbre de voix, la chaleur de son rire dans ton cou, ses mots doux, ses yeux tendres. Tu t’en voudrais si tu ne pouvais plus dessiner les traits de son visage, s’ils se mettaient à se brouiller dans ta tête.

Alors, tu as fait ce que tu faisais le mieux dans ces cas-là : tu as chanté. Seule, devant des sièges vides, le regard fixé sur ces derniers, les pieds dans le vide, les mains sur tes genoux, plus vulnérable que jamais. C’était seulement toi, ta voix, ta vulnérabilité, tes sentiments mis à nus. Juste toi, seule sur scène, avec le projecteur qui t’illuminait et qui plongeait le reste de la salle dans une obscurité encore plus profonde.
Anonymous
Invité
this is the wizzarding world of
Invité
informations



I shall die of having lived ♣ Athanaël [PM] Empty
Message Posté Dim 16 Déc - 16:24.
C’est avec une volonté de fer de devenir plus assidu dans son travail et améliorer ses résultats scolaires que notre jeune Gryffondor se leva ce matin-là. En ce samedi terne et gris qui allait sans tarder tourner en samedi pluvieux dans la soirée, il voulait plus que tout croire en sa bonne étoile, portée disparue jusqu’ici, et tenter de réaliser le sort du patronus qu’il n’avait toujours pas réussi à accomplir, au plus grand damne de ses professeurs. On ignore d’où provenait cette décision soudaine, apparue du jour au lendemain, et on ne cherchait pas à l’expliquer (bien que les récents évènements aient dû donner la donne) mais on ne pouvait être plus fier du jeune homme à cet instant-ci. Combien de fois avait-il entendu ses professeurs, ses connaissances, ses confrères Gryffondors, et ses parents se plaindre de son manque de sérieux à l’école ? Combien de fois lui avait- reprocher de ne pas y mettre du sien, au cours de ses années à Poudlard ? Combien de fois lui avait-on répéter que la magie ne se maitrisait pas sans efforts, efforts qu’il ne se donnait pas la peine de réaliser ? Tellement trop de fois qu’il ne les comptait plus. Tellement trop de fois qu’il ne les entendait plus. Sauf aujourd’hui. Il était décidé à travailler, travailler sans relâche, jusqu’à la fatigue, l’épuisement total, jusqu’à la réussite complète. Allongé paisiblement dans son lit, il s’imaginait déjà, tout sourire, l’expression de joie et d’étonnement qui apparaîtrait sur le visage de ses parents lorsqu’il annoncerait tout fier la forme de son patronus. Forme qu’il s’imaginait déjà dans son esprit : il en était persuadé, son patronus représenterait un phénix, l’oiseau immortel qui renaissait de ses cendres. Il ne concevait aucune autre forme animale comme son patronus. « Tu verras bien par toi-même. » se murmura-t-il en lançant un défi à lui-même, avant de se prendre son courage à deux mains et de lever afin d’exécuter ses dires. Une fois sur ses deux pieds, il remarqua la pièce qui lui servait de chambre, à lui et à cinq autres Gryffondors, vide, et se demanda brièvement où ils étaient tous passés avant de souffler un bon coup et enfiler sa robe. Peu importe où ils étaient, ils vivaient leur vie, sans réellement se préoccuper de lui de toute manière ; à quoi bon se préoccuper d’eux donc ?

Ce fut donc avec ce but précis de projeter son patronus qu’Athanaël avait agi toute la journée. Habituellement, le samedi était un jour comme un autre, où il passait la plupart de sa journée, enfermée dans une pièce du château, à dévorer un énième livre moldu d’un auteur moldu inconnu à tous les élèves, à éviter les professeurs et le personnel de Poudlard. Habituellement, le samedi, il s’ennuyait ferme, à l’image des autres jours, ne connaissant aucune activité particulière extrascolaire en comparaison des autres élèves. Mais aujourd’hui, il s’était baladé, dans toute l’enceinte du château, et avait passé la plupart de son après-midi à la bibliothèque en compagnie de quelques Serdaigles de septième année (qui ne cessait de le dévisager de la tête aux pieds, se demandant sûrement s’ils avaient déjà eu affaire au jeune homme auparavant), à la recherche de bouquins magiques. Sans doute n’y verrez-vous aucun changement comparé aux autres samedis où il bouquiner du matin au soir, et vous avez raison, mais dans l’esprit de Nate, c’était un grand pas. Ce n’était pas un samedi comme un autre ; ce jour-là, il s’était réellement intéressé à la magie, par lui-même, et paraissait fasciné, à l’instar des sorciers premières années qui découvraient la magie d’une autre manière. C’était donc plus enchanté qu’il ne l’était habituellement qu’il quitta, sous les bras des livres sur les sortilèges et les potions, la bibliothèque en fin de soirée.

Pus il avait déambulait, dans l’école, à la recherche d’un endroit calme et paisible où sa concentration pourrait être au maximum, tout en rappelant que le couvre-feu n’allait sans doute pas tarder donc il avait intérêt à se dépêcher. Il ignorait où aller malgré qu’à cette heure-ci beaucoup d’élèves devaient déjà être dans leur dortoir respectif et donc que le trois quart de l’école devait être en libre-service. Mais il cherchait un endroit, un endroit qui raviverait ses plus beaux souvenirs comme l’exigeait la règle pour l’apparition d’un patronus, en bref, il cherchait l’endroit parfait. Tout en errant dans le château, il essaya de se souvenir les plus heureux en compagnie de sa sœur, de sa famille, et se rappela de leur miteux appartement dans le monde moldu, en Allemagne, où il avait expérimenté maintes et maintes parties de cache-cache avec sa sœur. Il se rappela du moment où ce fut à son tour de se cacher, à sa sœur de compter, et qu’il avait déniché la cachette idéale : un immense trou dans le mur négligemment recouvert par du papier peint, qui menait à l’appartement d’à côté. Il avait été malicieux ce jour-là, et légèrement sadique étant donné qu’il avait laissé sa cadette le chercher de nombreuses heures, sans qu’il ne lui donne aucun indice. Ce qui l’avait trahit fut son rire incontrôlable lorsqu’elle lui passa à côté, sans rien percevoir. Il se rappela du jeune enfant joyeux et heureux de l’époque, ne se souciant de rien d’autre que de ses parties de cache-cache. Il avait drôlement changé depuis. L’enfant bienheureux et soucieux de rien avait disparu.

Après une bonne dizaine de minutes de vagabondage, il trouva le lieu parfait. Le théâtre. Rares sont les fois où depuis son entrée à Poudlard il avait mis les pieds dans cette immensité, mais il le sentait, c’était l’endroit idéal : reposant et loin de toute vie humaine, des endroits comme il les appréciait tant. Il pénétra par le côté jardin de la scène, tête déjà plongé dans les ouvrages, s’apprêtant à frôler le sol irrégulier de cette scène, mais s’arrêta net lorsqu’une voix mélodieuse se fit entendre. Il leva la tête, bouche-bée, et contempla une jeune blonde, illuminée par les deux des projecteurs, chanter. De dos, il ne pouvait la reconnaître, et l’admirer comme il se doit, mais il en était sûr, elle ne pouvait être que … belle. D’une beauté saisissante et remarquable. Sa voix le lui avait indiqué. Sa voix cristallin qui lui procurait des frissons de la tête aux pieds, cette mélodie, cette chanson qui traduisait sa vulnérabilité, son désarroi, sa tristesse, sa passion, son élégance. Doucement, intrigué, il s’avança vers elle, tentant de faire aucun bruit et l’interrompre. Mais à peine son pied frôla-t-il le bois de la scène, qu’un grincement sourd et désagréable se fit entendre et coupa derechef la jeune femme dans sa chanson. Nate se maudissait à ce moment précis. « Je… Je suis extrêmement désolé, je ne voulais pas… Je ne voulais pas… hum… Je pense que je vais m’en aller. » Essaya-t-il de s’excuser dans un souffle, avant de retrousser chemin, non sans oublier de reprendre ses livres, un instant laissés au sol, sous son bras. Il ne voulait en aucun cas déranger, et être dérangé, pourquoi rester plus longtemps et se rendre davantage plus ridicule ?
Anonymous
Invité
this is the wizzarding world of
Invité
informations



I shall die of having lived ♣ Athanaël [PM] Empty
Message Posté Lun 17 Déc - 1:33.
La douleur. Il n’y avait aucun mot pour la décrire, pour décrire le vide que tu ressentais désormais au plus profond de toi. Tu avais tenté de l’effacer, de le remplir d’une manière ou d’une autre, que ce soit avec de la nourriture, en dormant, en écrivant, en allant à tes cours, en nageant. Rien n’y faisait. Il y avait toujours cette boule en toi qui se formait alors que tu regardais vers le cimetière, cimetière que tu aurais préféré qu’il reste vite. Tu y étais allée souvent, beaucoup plus souvent que tu ne l’avais souhaité au départ. Tu voulais te détacher de lui, qu’il soit là, dans ta tête, mais plus comme un doux souvenir dont tu pouvais aisément parler, pas comme un poids lourd qui t’empêchait d’avancer. Ce n’est pas ce qu’il aurait voulu, tu en étais persuadée. Néanmoins, tu ne pouvais t’en empêcher, et même si tu voulais encore plus que lui que cette boule s’en aille, qu’elle disparaisse à jamais et qu’il ne devienne qu’un souvenir comme les autres, un bout de ta vie que tu appréciais et ne pouvait oublier, mais qui n’avait plus d’incidences sur ce que tu vivais présentement. Car là, tout de suite, maintenant, cette boule t’empêchait de vivre, elle t’empêchait d’être toi-même, et tu ne le blâmais pas. Tu l’aimais, et c’était pour cela que c’était si dur de le laisser partir, accepter qu’il ne revienne jamais. C’était pour ça que ça faisait encore mal et que ça ferait toujours un peu mal quand tu penserais à lui. Tu voulais simplement continuer à vivre ta vie, sans l’oublier néanmoins, car tu savais que c’était impossible. On ne peut pas effacer comme ça quelqu’un qui a tant compté pour nous pendant un certain laps de temps. Il t’avait montré comment vivre, comment survivre face à tout ça, comment être digne, comment marcher la tête haute. Et ça, c’était inoubliable, et ça n’avait pas de prix.

Tu étais allée chanter dans le théâtre, sûre d’être seule, de ne déranger personne et de ne pas être dérangée toi-même. Tu n’avais pas eu de public depuis un long moment, et chanter était devenu quelque chose de privé, quelque chose que tu réservais à ceux que tu aimais vraiment. Tu adorais fredonner, et tu en avais murmuré, des chansons, au creux de son oreille, surtout lorsqu’il faisait semblant de dormir. Il te l’avait avoué, un jour, qu’il faisait souvent semblant de s’endormir juste pour que tu lui chantes quelque chose. Tu avais toujours été un peu gênée de chanter. Tu avais l’impression que ça te rendait faible, vulnérable, que ça permettait aux autres de lire en toi comme dans un livre ouvert. Alors, tu ne chantais qu’aux personnes qui te connaissaient déjà, qui n’avaient pas ris de toi, qui ne rirais jamais de toi. Tu chantais pour eux, pour les remercier de tout ce qu’ils avaient déjà fait pour toi. Tu chantais de tout, leur chanson préférée, une mélodie entendue il y a très longtemps, les chansons populaires de l’heure. Des chansons moldues, aussi, comme ta mère aimait te faire écouter lorsque tu étais petite. Tu avais toujours gardée une certaine fascination pour leur musique, et tu avais un assez bon répertoire. Et puis, la vérité, c’est que tu adorais chanter. Mais que tu étais terriblement gênée qu’on t’entende, qu’on rit de toi, qu’on se moque du choix de chanson, de ta voix. Alors, tu t’étais rapidement tue, réservant ta voix pour ceux qui le méritaient.

Chanter, c’était une véritable libération. C’était dire par les mots de d’autres tout ce que tu n’arrivais pas à exprimer toi-même. C’était te trouver, et aller chercher les émotions au plus profond des autres. Et en ce jour pluvieux, tu chantais, aussi bien pour lui, tout en haut, que pour toi, qui était restée là. Tu avais même fermé les yeux, te balançant au son de la mélodie qui sortait de tes lèvres, portée par les paroles que tu prononçais. C’était comme si tu pouvais le sentir là, juste dernière toi, avec son souffle chaud caressant ton coup, sa main jouant avec légèreté dans tes cheveux. Puis, un grincement te fait sursauter violemment. Tu te retournes pour regarder un Gryffondor tout à fait contrit et se confondant en excuses. Vous vous êtes regardés quelques instants et tu n’as rien dit. Tu as juste rapidement détourné la tête, trouvant dans son regard une ressemblance troublante avec celui d’Alistair. Pas nécessairement par la couleur ou des caractéristiques terre à terre. Non, c’était leur expression, la même qu’il avait lorsqu’il t’avait vue pour la première fois. Et ça, pour que n’importe quoi d’autre, c’est ce qui t’a poussée à lui dire de rester.

« Non, non, je… Enfin, reste. S’il te plaît. »

Tu ne l’avais pas regardé lorsque tu avais prononcé ces mots à voix basse, néanmoins sûre qu’il t’avait entendue.

« Cela fait trop longtemps que je n’ai pas eu de public, et… Un peu de compagnie. »

Tu lui souris timidement alors qu’il s’installe à côté de toi.
Contenu sponsorisé
this is the wizzarding world of
informations



I shall die of having lived ♣ Athanaël [PM] Empty
Message Posté .

I shall die of having lived ♣ Athanaël [PM]

T H E . F E A T H E R . O F . A . P H O E N I X :: Saison 2

Sujets similaires

-
» athanaël ▬ life is hard, it kills you after all.

Réponse rapide

pour répondre plus vite que le vent, t'as vu !

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Sauter vers: